09 88 90 39 71
Contactez un conseiller TotalEnergies
Accueil » Choisir son fournisseur » Le prix de l'énergie » Prix du kWh d’électricité en France en 2025 : tarifs et évolution

Prix du kWh d’électricité en France en 2025 : tarifs et évolution

Article mis à jour le 29 avril 2025

Le prix du kWh d’électricité dépend de l’offre proposée par chaque fournisseur, ainsi que des options tarifaires choisies. En effet, l’option heures pleines/heures creuses a une tarification double, c’est-à-dire, un prix du kWh pour les HP et un autre pour les HC, qui sont différents du prix du kWh de l’option de base.  Afin de comparer les offres entre elles, vous pouvez vous référer aux tarifs réglementés de vente de l’électricité (TRV) définis par l’Etat et pratiqués par le fournisseur historique, EDF. Depuis le 1er février 2025, le prix du kWh du TRVE pour une option Base était de 0,2016 euros.

Vous souhaitez changer de fournisseur ?

Nos experts vous conseillent gratuitement !

Je découvre les offres

TRV : qu’est-ce que c’est et comment ça impacte le prix du kWh des offres de marché

Le TRV détermine le prix du kWh et le coût de l’abonnement : 

  • l’offre tarif Bleu s’applique à une option Base et à une option heures pleines/heures creuses, différente dans chaque cas. Ainsi, au 1er février 2025, le prix du kWh TRV était de 0,2016 euros pour l’option Base, de 0,2146 euros en heures pleines et de 0,1696 euros en heures creuses ;
  • pour ce qui est de l’abonnement kVA, seul celui d’EDF est fixé par les pouvoirs publics. Partie invariable de votre facture d’énergie, chaque fournisseur d’électricité détermine librement le montant de leur abonnement. Ils fixent d’ailleurs tout aussi librement leur prix du kWh.

Les TRVE sont amenés à évoluer environ deux fois par an, généralement au 1er février et au 1er août de chaque année. Si le marché fait face à une situation tendue ou exceptionnelle, des révisions supplémentaires peuvent s’appliquer.

Les fournisseurs alternatifs tels que TotalEnergies se basent souvent sur les TRV pour déterminer leur propre tarification : en indexant leurs prix sur les tarifs réglementés, les fournisseurs qui souhaitent pratiquer des prix plus intéressants cherchent à s’aligner sur des montants inférieurs. 

L’évolution du prix du kWh du tarif réglementé

En dépit d’un principe se voulant plus avantageux pour les consommateurs français, le marché a été mis à l’épreuve et le prix du kWh d’électricité a régulièrement augmenté au fil des années. Et ce, d’autant plus avec la récente crise énergétique. Ainsi, en août 2013 on a un prix de 0,133 € TTC du kWh de l’option Base alors qu'en février 2025 ce prix évolue à 0,2016 €TTC du kWh, ce qui représente une augmentation de 51,6%.

Évolution du tarif réglementé de vente d'électricité

Évolution du prix du TRVe en € TTC (option Base). Source : CRE

Les fournisseurs alternatifs et les offres de marché

On l’aura compris, la libéralisation a permis à pléthore de fournisseurs d’électricité de proposer leurs propres tarifications. Ces tarifs répondent donc à une logique de marché, à laquelle EDF répond d’ailleurs également, en proposant non seulement ses TRV, mais aussi des tarifs indexés sur le marché. Cependant, les fournisseurs alternatifs se servent des TRVE afin de définir leurs offres de marché. Ainsi, un fournisseur qui souhaite être compétitif cherchera à se positionner en dessous des TRV.

Le tableau suivant répertorie le prix du kWh proposé par TotalEnergies à travers ses différentes offres :

OffreOption baseOption HC/HP
prix du kwhprix du kwh HCprix du kwh Hp
Standard Fixe0,1823 €0,1541 €0,1937 €
Heures Eco électricité0,2016 €0,1696 €0,2146 €
Verte Fixe0,1935 €0,1631 €0,2059 €
Prix en vigueur en avril 2025

Différences entre les offres à prix fixes et les offres à prix variable

Les offres du marché peuvent être aussi à prix fixes ou indexées. Les offres à prix fixes sont bloqués pendant une période limitée (souvent un an). Durant toute la durée du contrat, le prix du kWh ne varie pas, quelles que soient les fluctuations du marché. Dès lors, en cas de hausse des prix de l’électricité, le consommateur n’est pas affecté et peut faire d’importantes économies d’énergie en comparaison des autres consommateurs.

Les offres à prix indexé, par contre, peuvent donc varier selon leur base d’indexation : 

  • prix indexés sur le TRV : si le tarif réglementé augmente, le prix indexé augmente également. Inversement, s’il diminue, le prix indexé diminue avec lui, ce qui permet de faire des économies ;
  • prix indexés sur le marché : la tarification suit dans ce cas les fluctuations du marché de gros.

Le prix du kwh et la facture d’électricité

Le prix du kWh définit le montant variable de la facture de l'électricité, mais pas le montant total de la facture. 

Comme évoqué plus haut, le montant de votre facture est défini non seulement par le prix du kWh (partie variable) qui permet de calculer le coût de votre consommation globale, mais aussi par le prix de l’abonnement qui ne change pas, quelle que soit votre consommation d’électricité. Enfin, les taxes et contributions viennent s’ajouter au montant global qui vous revient. En résumé, votre facture se compose des trois éléments suivants : 

  • le prix du kWh : plus vous consommez, plus cette partie est importante ;
  • l’abonnement : invariable, il dépend de la puissance de votre compteur ;
  • les taxes et contributions : la TVA, le TICFE (taxe intérieure sur la consommation finale d’électricité, ancienne CSPE) et la CTA (contribution tarifaire d’acheminement). A noter que selon l’observatoire des marchés de l’électricité et du gaz naturel de la commission de régulation de l’énergie, les taxes et l’acheminement de l’électricité représentent ensemble près de la moitié du montant de votre facture.

A cela peuvent aussi s’ajouter des frais liés aux prestations et aux services réalisés par le fournisseur.

Libéralisation du marché de l’électricité en 2007

Cependant, après 2007, la feuille de route européenne a entraîné une libéralisation du marché de l’électricité dans l’Hexagone. Cette libéralisation du marché de l’électricité a ouvert la voie à l’apparition de fournisseurs alternatifs. Ces fournisseurs alternatifs sont venus concurrencer le fournisseur d’électricité historique en proposant à sa clientèle de nouvelles offres, à des tarifs se voulant plus attractifs.

L’objectif de la libéralisation ? Dans l’idée, faire jouer la concurrence pour peser à la baisse sur les prix du kWh de l’électricité et favoriser les consommateurs, en leur proposant une offre de prix variée.

Création de l’ARENH en 2011

Selon le principe mis en œuvre par l’ARENH depuis 2011 (accès régulé à l’électricité nucléaire historique), les fournisseurs alternatifs d’électricité ont depuis lors la possibilité de s’approvisionner en énergie électrique auprès d’EDF, pour un volume global maximal fixé à 100 TWh par an. 

Cet approvisionnement se fait à un prix du kWh d’électricité fixé par les pouvoirs publics, ce qui permet ensuite aux fournisseurs alternatifs de revendre l’électricité moins cher à leur clientèle. En contrepartie, les fournisseurs alternatifs devaient initialement investir dans de nouveaux moyens de production.

Avec l’arrivée des fournisseurs alternatifs et la mise en place de l’ARENH, la concurrence s’est développée sur le marché de détail destiné aux particuliers. Les prix de l’électricité en France se sont voulus plus variables, les consommateurs d’énergie ont dès lors eu davantage de choix parmi les offres, les contrats ou les options possibles, et peuvent sans trop de contraintes passer d’un fournisseur à un autre.

Évolutions des prix du kWh d’électricité à partir d'août 2013

En dépit d’un principe se voulant plus avantageux pour les consommateurs français, le marché a été mis à l’épreuve et le prix du kWh d’électricité a régulièrement augmenté au fil des années. Et ce, d’autant plus avec la récente crise énergétique. Ainsi, en août 2013 on a un prix de 0,133 € TTC du kWh alors qu'en février 2024 ce prix évolue à 0,252 €TTC du kWh, ce qui représente une augmentation de 89,5%.

Mais en février 2025, nous avons assisté à une baisse importante des tarifs du marché. Cette forte diminution a contribué à faire descendre le TRVE, et ce même en dépit de l’augmentation du TURPE (taxe d’utilisation des réseaux publics d’électricité), qui sert à calculer le CTA.

Les années précédentes, les TRV ont toutefois été marqués par une augmentation globale marquée par des hausses régulières, à raison d’une à deux fois par an, qui se sont traduites de la sorte sur la fin de la période :

Année d’évolution
Nombre d’évolutionsEstimation des évolutions
20191+3,8%
20202+2,4% en février
+1,5% en août
20212+1,6% en février
+0,48% en août
20221+4%
20232+15% en février
+10% en août
20241+8,6% en février
20251-15% en février

Le bouclier tarifaire

Pour contrer les effets de la crise énergétique lorsque le besoin s’en est fait le plus sentir, le gouvernement a décidé de mettre en place un bouclier tarifaire. Ce bouclier tarifaire se voulait protéger les consommateurs contre une hausse trop brutale des prix du kWh d’électricité, et plus généralement du coût de l’énergie en général. En pratique : 

  • le gouvernement a réduit au minimum la taxe intérieure de consommation finale sur l’électricité (TICFE), à 1 euro le MWh (contre 32 euros avant la crise de l’énergie) ;
  • il a pris à sa propre charge plus d’un tiers du montant des factures d’électricité.

Ce bouclier tarifaire s’appliquait aux particuliers, mais aussi aux petites collectivités territoriales et aux micro-entreprises dotées d’un chiffre d’affaires inférieur à 2 millions d’euros (pour une puissance souscrite inférieure à 36 kVA).

Ainsi, le mois de février 2023 aurait dû être marqué par une hausse du prix du kWh d’électricité bien supérieure à celle de 15% finalement enregistrée. Il aura également permis de contenir la hausse à 2% courant 2022. 

Cependant, à partir de février 2024, le bouclier tarifaire a pris fin progressivement. La TICFE (ou l’accise sur l’électricité) a petit à petit augmentée, par paliers. Un premier palier a été franchi en février 2024, ce qui s’est traduit par : 

  • une hausse de 8,6% pour le prix du kWh d’électricité au tarif de base ;
  • une hausse de 9,8% pour l’option heures creuses/heures pleines ;
  • une hausse comprise entre 10,7 et 20,1% selon les jours de l’offre Tempo d’EDF pour exemple.

Cette première augmentation de l’accise sur l’électricité la fait passer de 1 euro par MWh (grâce au bouclier tarifaire) à 21 euros par MWh. En février 2025, le bouclier tarifaire a pris fin définitivement et l’accise sur l’électricité est passé à 32,44€/MWh.

Quels sont les facteurs qui impactent le prix du kWh d’électricité ?

Fluctuations du marché de gros, crise de l’énergie, évolutions tarifaires… De nombreux éléments influent sur le prix du kWh d’électricité.

Impact du marché de gros sur les tarifs des consommateurs

Les prix sur vos factures sont indexés sur les transactions du marché de gros, car les fournisseurs d’énergie achètent des volumes nécessaires pour couvrir les besoins de leur clientèle. Concrètement, les fluctuations subies par le marché de gros se répercutent sur le marché du détail : chaque hausse entraîne des coûts supplémentaires pour les fournisseurs, qui les répercutent sur vos factures.

Par ailleurs, cette indexation est un bon moyen pour les autorités de régulation européennes de vérifier que les augmentations des tarifs ne sont pas abusives.

Contexte de crise énergétique

Le contexte de la guerre en Ukraine et de la crise énergétique qui en découle est pour beaucoup dans l’augmentation significative du prix du kWh d’électricité ces dernières années. Plusieurs facteurs sont en cause, par exemple : 

  • l’augmentation des prix des combustibles fossiles dû aux tensions internationales ;
  • les défauts d’approvisionnement en gaz naturel, nécessaire à la production d’électricité en Europe ;
  • les dommages provoqués sur certaines infrastructures de stockage ou de transport de l’énergie ;
  • les fluctuations parfois brutales du marché de gros de l’énergie, liées aux incertitudes géopolitiques (les contrats d’approvisionnement sont indexés sur les prix des marchés de gros) ;
  • la hausse des coûts de production ;
  • l’augmentation de la demande en comparaison d’une offre tendant à être basse.

Mécanisme de décision des évolutions tarifaires

Comme évoqué précédemment, ce sont les pouvoirs publics qui fixent les TRVe, qui ont une influence directe notamment sur les offres à prix indexés, et une influence parfois indirecte sur les offres à prix fixes. Et au-delà des variations du tarif réglementé, les fournisseurs doivent de leur côté analyser leurs coûts de production, leurs coûts d’acheminement et de distribution de l’énergie. Il appartient à la CRE de vérifier que toute évolution des tarifs est justifiée au regard de ces éléments. Au global, ce sont les critères suivants qui interviennent de la prise de décision : 

  • les coûts ;
  • l’anticipation de la demande ;
  • les objectifs financiers du fournisseur ;
  • les retours de la clientèle face aux évolutions tarifaires.

Par ailleurs, d’autres facteurs, tels que les politiques publiques liées à l’énergie, entrent en ligne de compte dans les processus de décision liés aux évolutions tarifaires.

Comment va évoluer le prix du kWh d’électricité ?

Le 11 juin 2024, le ministre de l’Économie Bruno Le Maire avait annoncé que les factures d’électricité des consommateurs français seraient amenées à diminuer de 10 à 15% d'ici le 1ᵉʳ février 2025.  Son annonce s’est donc effectivement concrétisée.

Par ailleurs, depuis la baisse de février 2025, aucune augmentation des TRVE n’est envisagée pour le mois d’août. 

Le mix énergétique aurait du potentiel…

Afin de démontrer cette déclaration, Bruno Le Maire avait évoqué la relance du nucléaire en France. L’électricité d’origine nucléaire est reconnue comme une ressource énergétique peu coûteuse et neutre en carbone. Elle a longtemps été un atout dans le mix énergétique français et son indépendance énergétique à l’égard de pays exportateurs. Dans le contexte géopolitique actuel, elle représente aussi des enjeux de souveraineté énergétique.

De plus, EDF aura produit 320 TWh d’électricité issue de l’énergie nucléaire, ce qui correspond à une hausse de 14,8% par rapport à 2022. Dans la même veine, les évolutions de l’ensemble de l’année 2024 ont dessiné une tendance similaire. 

Au-delà du nucléaire, le mix énergétique français comporte aussi des énergies renouvelables qui permettent à l’Hexagone d’étoffer son offre d’électricité. En période de fort ensoleillement, les parcs solaires français permettent par exemple à sa production photovoltaïque d’offrir plus d’énergie qu’il y a de demande. Le ministre délégué chargé de l’Industrie et de l’Énergie avait par ailleurs annoncé vouloir accélérer le rythme des installations de panneaux solaires dans l’objectif d’atteindre une production potentielle de 100 gigawatts dans les 10 prochaines années.

Les réserves des observateurs du marché

Cependant, en dépit de ces prédictions optimistes de la part du gouvernement, la commission de régulation de l’énergie et d’autres organisations telles que l’UFE (Union Française de l’Electricité) sont plutôt enclines à tirer la sonnette d’alarme. En effet, elles prévoient que les tarifs de l’électricité continueront d’augmenter jusqu’en 2030, et même par la suite.

Pour expliquer ces projections, la CRE et l’UFE mettent en avant divers éléments structurels du paysage énergétique français : 

  • vieillissement des centrales nucléaires : le temps use les réacteurs nucléaires et certains composants de sécurité. A cela s'ajoutent des risques liés aux fuites radioactives, et une hausse des coûts de maintenance. Prolonger la durée de vie des centrales nucléaires représente des investissements élevés ;
  • difficultés à mettre en service de nouveaux réacteurs : mettre en service de nouveaux réacteurs prend du temps et ne permettra pas de faire diminuer les factures à court-moyen terme. La réglementation en matière de sécurité, d’environnement et d’exigences techniques est très stricte ;
  • les freins au développement des énergies renouvelables : des voix s’élèvent contre le développement de certaines énergies renouvelables, par exemple en défaveur des éoliennes qui sont accusées de défigurer les paysages naturels. Dans le même ordre d’idées, le récent décret agrivoltaïsme, qui autorise un taux de couverture des terres agricoles de l’ordre de 40 % par des panneaux solaires photovoltaïques, ne fait pas non plus l’unanimité.

Par ailleurs, les investissements dans les réseaux et la production d’énergie se heurtent à des limites. Selon un rapport réalisé pour la Table ronde des industriels européens, l’Union européenne va faire face à un déficit d’investissement dans les réseaux électriques de 800 milliards d’euros d’ici 2030.

Or, le renforcement des réseaux électriques européens est essentiel pour poursuivre les efforts de chaque pays en faveur de la décarbonation (donc a fortiori en faveur d’une électricité moins chère). Les réseaux doivent en effet supporter la hausse à venir de la demande pour soutenir l’essor des véhicules électriques, ainsi que les systèmes de chauffage et de climatisation vertueux tels que les pompes à chaleur.

Comment fonctionne le marché de gros de l’électricité ?

Pour comprendre les évolutions du prix du kWh d’électricité sur votre facture, il convient de bien appréhender le fonctionnement du marché de gros. C’est en effet sur celui-ci que les tarifs électriques pour les particuliers sont indexés.

Le marché de gros de l’électricité, c’est quoi ?

S’il y a une chose à retenir en tant que particulier au sujet du marché de gros, c’est qu’il s’agit d’un marché duquel vous n’êtes pas partie prenante. Concrètement, c’est sur ce marché européen que l’électricité est achetée et vendue en grandes quantités, par les producteurs d’électricité et par les fournisseurs d’électricité. Les grands industriels sont également des acteurs du marché de gros, puisqu’ils en consomment de gros volumes.

Ces achats et ces ventes s’opèrent via des contrats ou des bourses dédiées, et les montants transactionnels se régulent par le biais de la loi du marché, à savoir l’offre et la demande. 

Quel est le prix du kWh d’électricité sur le marché de gros en 2024 ?

Le prix du kWh d’électricité sur le marché de gros, c’est le prix SPOT. Ce prix SPOT est évalué en temps réel, et se calcule non pas au kWh mais au MWh. Le 8 juin 2024, il était de 20,22 euros par MWh, tandis qu’au 8 juillet, il était de 70,23 euros par MWh.

Le marché de gros de l’électricité est relativement volatile. Ses variations quotidiennes ont un impact direct sur la fixation du prix du kWh de l’électricité pour les particuliers.

Comment bien choisir son fournisseur d’électricité ?

Le coût des options proposées, l’origine de l’énergie et votre consommation annuelle en kWh sont autant d’éléments à prendre en compte afin de bien choisir votre fournisseur énergétique.

Bien choisir son option tarifaire

La première chose à faire pour sélectionner le meilleur fournisseur possible est d’étudier avec soin l’option tarifaire qui vous convient le mieux. Le prix du kWh d’électricité pour chaque type de contrat du fournisseur historique s’adapte ainsi en fonction de vos habitudes de consommation : 

  • l’offre option Base convient à la plupart des consommateurs, notamment ceux qui consomment peu ou ceux qui ne se posent pas de questions quant à la maîtrise de leur consommation. 
  • l’option heures pleines/heures creuses est recommandée aux personnes qui savent qu’elles consomment davantage en dehors des pics de consommation, ou bien qui souhaitent faire des efforts en concentrant leurs usages dans les plages horaires où le prix du kWh d’électricité est le moins élevé ;
  • d’autres options tarifaires basées sur les pics de consommation et les heures où le réseau est moins en tension. Chez TotalEnergies par exemple, c’est le cas de l’offre Charg’Heures, qui propose des “heures super creuses” pour le changement d’une voiture électrique”, ou bien de l’offre Heures Eco+, qui vous fait bénéficier d’un tarif préférentiel 345 jours par an, mais vous invite à faire très attention durant 20 jours rouges d’hiver.

Bien choisir la puissance de son compteur

Choisir la puissance de votre compteur relève d’une bonne estimation de vos besoins : en France la plupart des foyers peuvent se contenter d’un compteur à 6 kVA, suffisant pour faire fonctionner plusieurs appareils électroménagers simultanément. Une personne seule dans un studio peut éventuellement se contenter d’un compteur à 3 kVA, tandis qu’on réservera les compteurs d’une puissance de 9 kVA et plus à de grandes maisons pour des familles nombreuses. 

Comparer les offres

La meilleure manière de sélectionner le fournisseur qui vous propose le meilleur prix du kWh d’électricité est encore de comparer les différents contrats qui vous sont proposés. Vous pouvez pour cela faire une demande auprès de plusieurs fournisseurs, ou bien vous renseigner en utilisant un comparateur d’énergie

Attention, il convient de noter que les comparateurs d’électricité privés peuvent parfois avoir noué des partenariats avec certains fournisseurs. Le risque est alors de vous voir proposer en priorité des offres élaborées par ces mêmes fournisseurs.

Si l’on peut parfois douter de la fiabilité et de la neutralité des outils comparatifs d’énergie privés, c’est moins le cas du comparateur officiel du médiateur national de l’énergie. Celui-ci se veut entièrement neutre, rassemble l’ensemble des offres existant aujourd’hui sur le marché, et vous propose une liste exhaustive des contrats et des offres les plus adaptées aux renseignements que vous lui fournissez.

Comparer les fournisseurs

Parmi les critères à considérer pour comparer les enseignes, on peut citer : 

  • le type d’offre : indexé sur le TRVe, à prix fixe ou variable, de base, en heures pleines ou en heures creuses… ;
  • les économies d’énergie potentielles en adoptant votre nouveau contrat d’électricité, par rapport au nombre d’occupants de votre logement, sa superficie, votre zone géographique ou encore le type d’énergie utilisée pour votre chauffage ;
  • l’origine de l’énergie : certains fournisseurs proposent une énergie “verte” qui provient d’une source renouvelable. Il n’est pas possible de tracer avec précision l’origine de l’électricité consommée, mais chaque fournisseur vend chaque année un volume d’énergie verte connu, en proportion d’une énergie produite de manière plus traditionnelle ;
  • la réputation du fournisseur et la qualité de son service client.

Il est aujourd’hui très simple de changer de fournisseur et de signer un nouveau contrat de fourniture d’électricité : il vous suffit d’y souscrire en ligne ou par téléphone, et c’est l’opérateur qui s’occupe de tout à votre place.

09 88 90 39 71
Contactez un conseiller TotalEnergies
Service rapide
RAPIDE

Nos conseillers sont disponibles immédiatement

Démarches simples
SIMPLE

Nous vous accompagnons dans vos démarches :
souscription, résiliation

Service gratuit
GRATUIT

Notre service est gratuit pour l'internaute*

Retour en haut